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On his throne of the Lord Mayor’s State Coach.
Sur son trône du carrosse d'apparat du Lord Maire.
Weighing eighteen stone (252 pound) Alfred Wright made quite an impression on the hammer cloth of the Lord Mayor of London’s State Coach. Being for half his life in the service of the City and sent out to Paris and Brussels to accompany the Lord Mayor on his officials visits, Wright was for sure one of the most popular coachmen England has ever had.
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Pesant 126 kg, Alfred Wright faisait forte impression sur le siège à housse du carrosse d'apparat du lord-maire de Londres. Ayant passé la moitié de sa vie au service de la ville et ayant été envoyé à Paris et à Bruxelles pour accompagner le Lord Maire lors de ses visites officielles, Wright était sans aucun doute l'un des cochers les plus populaires que l'Angleterre ait jamais connu.
Written by Mario Broekhuis, photographs from the archive of the author
Écrit par Mario Broekhuis, photographies des archives de l'auteur
Alfred James Wright (1860-1919) owed his job to the bankruptcy of his predecessor: “At the London Bankruptcy Court yesterday a meeting was held before Mr. Registrate Hazlitt for the public examination of George Heath, the Lord Mayor's coachman, also described of the Midland Hotel, Woodlesford near Leeds, licensed victualler, etc. The unsecured debts are returned at £402 - and assets nil. ln reply to the official solicitor the bankrupt stated that he was the Lord Mayor’s coachman. In 1880, having saved between £300 and £400, he took the Midland HoteL He had purchased some brewery shares, and obtained advances upon those shares, with which he purchased the hotel. He attributed his failure to want of knowledge of the business. The official solicitor: What is your salary? - £2 a week. The official solicitor: What! Not more than that for the Lord Mayor s coachman ? - No, not a penny more.” (St James's Gazette - Saturday 07 July 1888)
A few months earlier Heath accompanied the Lord Mayor for an official state visit to Brussels, an occasion that was taken to have photographs being made in the famous studio of Louis-Jean Delton in the Bois de Boulogne. On the photograph of the dress chariot in full glory a skinny man sits on the box. How different was his successor, Wright.
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Alfred James Wright (1860-1919) doit son emploi à la faillite de son prédécesseur : "Au tribunal des faillites de Londres, une réunion s'est tenue devant le juge M. Hazlitt pour la mise en examen de George Heath, le cocher du Lord Maire, également décrit comme possédant l'hôtel Midland, Woodlesford près de Leeds, propriétaire d'un cabaret, etc. Les dettes non garanties s'élèvent à 402 livres sterling et les actifs à zéro. En réponse au procureur, l'homme en faillite a déclaré qu'il était le cocher du Lord Maire. En 1880, ayant économisé entre 300 et 400 livres, il reprend l'hôtel Midland. Il avait acheté des actions de brasserie et obtenu des avances sur ces actions, avec lesquelles il acheta l'hôtel. Il attribue son échec à un manque de connaissance des affaires. Le procureur : Quel est votre salaire ? - 2 livres par semaine. Le procureur: Quoi ! Ce n'est pas plus que cela pour le salaire du cocher du maire ? - Non, pas un centime de plus." (St James's Gazette - samedi 7 juillet 1888)
Quelques mois plus tôt, Heath avait accompagné le Lord Maire lors d'une visite d'État officielle à Bruxelles, une occasion qui fut saisie pour prendre des photos dans le célèbre studio de Louis-Jean Delton au bois de Boulogne. Sur la photo du carrosse d'apparat en pleine gloire, un homme maigre est assis sur le siège. Son successeur, Wright, était très différent.
Trumpet shaped nose
The journalist Thiebault-Sisson made a fine sketch of Master Wright’s world, in The St. Johnsbury Caledonian of November 1, 1894: “An antediluvian spectacle was prepared for me in the stables of the Lord Mayor of London. In a vast courtyard an enormous carriage made of gold, to which were harnessed six magnificent brown horses; harness ornamented with massive copper, chiseled by an artist, if not with taste at least with a great deal of care, and a multitude of ribbons and cockades of a cherry colour.
On the seat, six feet above the earth, the coachman, but what a coachman, my friends! A coachman the breed of which has been lost since the time of Louis XIV. He wore a wig with a sextuple line of curls symmetrically arranged, had a bicornered hat on his head, and he wore his livery as Wellington after Waterloo must have worn his uniform. His livery has a grand air. It is black and gold. The frock is too ornamental. The black velvet of it disappears under a thick embroidery of gold wheat and field flowers of purple silk, but the chest on which it is opened is so ample, and the large epaulets, with gold fringes, fall with a nobility so imposing on arms so fat and so firm, that one cannot find this exhibition of wealth excessive.
"Have you seen everything?" asks the fat man. I say "Yes," and Master Wright descends from his perch. He puts aside with sacerdotal slowness one by one his bicornered hat, his wig and his frock. As he becomes a simple mortal he talks and smiles. I smile, too, because he strangely resembles Coquelin. His trumpet shaped nose is particularly a success. Master Wright is not too proud of it. He is proud only of his size. He talks of it with evident conceit.
"Do you know," he says confidentially, "that I measure from shoulder to shoulder 47 inches? To become a member of the Royal guard, where there are splendid men, you need only 42 inches. Some of them measure 43. There are some who measure 44, but there is not one who measures 47."
In the harness room - in a special room of which the first coachman alone has the key - Wright hands to me one of the sets of harness. Its weight is fabulous. Each horse carries 110 pounds. Add to this the enormous mass of the car, and you may understand why it is that ordinary horses will not do for the annual parade. The liveryman who has charge of the stables of the Lord Mayor is compelled to search for two months in advance in order to find the six horses destined to drag during this memorable parade the formidable machine. The rest of the year there are only six horses in the stable. They are all beautiful, but of a smaller size. Four of them are harnessed to the second carriage, the Lord Mayor's dress carriage. Two are harnessed to the semi-state carriage. The carriages are not the property of the Lord Mayor, but of the City of London. They are rented by the year. The price is very high, as the coat of arms and the painting on the panels must be changed every year. The second carriage costs £800.
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Nez en trompette
Le journaliste Thiebault-Sisson a fait une belle esquisse du monde de Maître Wright, dans le St. Johnsbury Caledonian du 1er novembre 1894 : "Un spectacle d'une autre époque m'attendait dans les écuries du Lord Maire de Londres. Dans une vaste cour, une énorme voiture en or, à laquelle étaient attelés six magnifiques chevaux bruns ; des harnais ornés de cuivre massif, ciselés par un artiste, sinon avec goût, du moins avec beaucoup de soin, et d'une multitude de rubans et de cocardes de couleur cerise.
Sur le siège à housse, à six pieds au-dessus du sol, le cocher, mais quel cocher, mes amis ! Un cocher dont la race s'est perdue depuis le temps de Louis XIV. Il portait une perruque avec une sextuple rangée de boucles symétriquement disposées, il avait un chapeau à bicorne sur la tête, et il portait sa livrée comme Wellington après Waterloo a dû porter son uniforme. Sa livrée a une allure grandiose. Elle est noire et or. La redingote est trop ornementale. Son velours noir disparaît sous une épaisse broderie de blé d'or et de fleurs des champs en soie pourpre, mais la poitrine sur laquelle elle est ouverte est si ample, et les grandes épaulettes, à franges d'or, tombent avec une noblesse si imposante sur des bras si gras et si fermes, qu'on ne peut trouver excessif cet étalage de richesses.
"Avez-vous tout vu ? demande le gros homme. Je réponds "Oui" et Maître Wright descend de son perchoir. Avec une lenteur sacerdotale, il dépose l'un après l'autre son chapeau à bicorne, sa perruque et sa redingote. Devenu un simple mortel, il parle et sourit. Je souris aussi, car il ressemble étrangement à Coquelin. Son nez en trompette est particulièrement réussi. Maitre Wright n'en est pas trop fier. Il n'est fier que de sa taille. Il en parle avec une vanité évidente.
"Savez-vous", dit-il confidentiellement, "que je mesure d'une épaule à l'autre 47 pouces ? Pour devenir membre de la garde royale, où il y a des hommes splendides, il suffit de mesurer 42 pouces. Certains mesurent 43. Il y en a qui mesurent 44, mais il n'y en a pas un qui mesure 47".
Dans la salle des harnais - une pièce spéciale dont seul le premier cocher a la clé - Wright me tend l'un des harnais. Son poids est fabuleux. Chaque cheval porte 110 livres. Ajoutez à cela l'énorme masse de la voiture et vous comprendrez pourquoi les chevaux ordinaires ne conviennent pas pour le défilé annuel. L'écuyer qui a la charge des écuries du Lord Maire est obligé de chercher pendant deux mois à l'avance les six chevaux destinés à traîner pendant ce défilé mémorable la formidable machine. Le reste de l'année, il n'y a que six chevaux dans l'écurie. Ils sont tous beaux, mais de taille plus modeste. Quatre d'entre eux sont attelés à la deuxième voiture, la voiture de gala du maire. Deux sont attelés à la voiture de ville. Les voitures ne sont pas la propriété du Lord Maire, mais de la ville de Londres. Elles sont louées à l'année. Le prix est très élevé, car les armoiries et la peinture des panneaux doivent être changées chaque année. La deuxième voiture coûte 800 livres sterling.
Lord Mayor’s State Coach for the procession trough London, 1902 (photo made by Mrs. Albert Broom).
Le carrosse d'apparat du Lord Maire pour la procession à travers Londres, 1902 (photo prise par Mme Albert Broom).
The Lord Mayor’s ‘second’ dress coach. Photograph made by Mrs. Albert Broom, Britain's first woman press freelance photographer.
La "deuxième" voiture de gala du Lord Maire. Photographie prise par Mme Albert Broom, la première photographe de presse freelance en Grande-Bretagne.
The service of the stables is composed of a head coachman, of a second coachman, more especially devoted to the lady Mayoress; of a private coachman, a footman, a groom and two stable boys. Their total wages are £10 a week.
"I would wager," said Wright, with a mocking smile, "that you will ask what the cost of my livery is. Well, this uniform was paid for by the Lord Mayor only recently. Its cost was £100."
"Fortunately, " I said, "you do not renew it every year." "You are mistaken. Every Lord Mayor has a livery different from that chosen by his predecessor. We change livery every year.”
"And does the Lord Mayor have to pay for all this?"
"Certainly, sir. It is a dignity everybody may not have. But you must remember that the most parsimonious of Lord Mayors never spent less than £20,000 a year. Do you know how much the City allows him? No? Well, the City allows him only £10,000 a year."
"How is it," said I, "that you are not changed as well as the Lord Mayor?"
Master Wright stood up with inflexible rigidity. He said: "Sir, we are officers of the City of London. Appointed by the City to our modest functions, we serve it in the person of its first magistrate, and we serve it faithfully, but we are not the servants of the Lord Mayor. Lord Mayors come and go. We remain."
After this solemn phrase Master Wright cordially extended his hand to me. I shook it, and when he put it back in his pocket it was not empty.”
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Le service des écuries est composé d'un cocher principal, d'un second cocher, plus particulièrement dévoué à l'épouse du maire, d'un cocher personnel, d'un valet de pied, d'un palefrenier et de deux garçons d'écurie. Leur salaire total est de 10 livres sterling par semaine.
"Je parierais, dit Wright avec un air moqueur, que vous allez me demander ce que coûte ma livrée. Eh bien, cet uniforme a été payé par le Lord Maire tout récemment. Il a coûté 100 livres sterling.
"Heureusement, dis-je, vous ne le renouvelez pas chaque année. "Vous vous trompez. Chaque Lord Maire a une livrée différente de celle choisie par son prédécesseur. Nous changeons de livrée tous les ans.
"Et le Lord Maire doit-il payer pour tout cela ?"
"Certainement, monsieur. C'est une dignité que tout le monde ne peut pas avoir. Mais vous devez vous rappeler que le plus parcimonieux des lords-maires n'a jamais dépensé moins de 20 000 livres par an. Savez-vous combien la ville lui accorde ? Non ? Eh bien, la ville ne lui accorde que 10 000 livres par an."
"Comment se fait-il, dis-je, que vous ne soyez pas changé vous aussi comme que le Lord Maire ?"
Maître Wright se leva avec une raideur sévère. Il dit : "Monsieur, nous sommes des fonctionnaires de la ville de Londres. Nommés par la ville à nos modestes fonctions, nous la servons en la personne de son premier magistrat, et nous la servons fidèlement, mais nous ne sommes pas les serviteurs du lord-maire. Les lord-maires vont et viennent. Nous restons".
Après cette phrase solennelle, Maitre Wright me tendit cordialement la main. Je l'ai serrée, et quand il l'a remise dans sa poche, elle n'était pas vide".
Across the lawn
As always an official visit of the Lord Mayor to other cities, like Sheffield in 1903, attracts a lot of attention: “…the magnificently-liveried and powdered footmen, and, not least, London’s celebrated coachman, aroused an interest and admiration second only to a Royal visit.” And the Sheffield Daily Telegraph (1 July 1903) continues by describing his skills: “The gravel drive front of the house was scarcely wide enough for the carriage and four to turn in, but he is not only imposing in appearance. He is man of resource, and solved the problem that had quickly arisen by taking the four fine bays across the lawn and to the drive again, with their noses pointed to the roadway.”
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A travers la pelouse
Comme toujours, une visite officielle du Lord Maire dans d'autres villes, comme à Sheffield en 1903, attire beaucoup d'attention : "...les valets de pied magnifiquement vêtus et poudrés, et non le moindre, le célèbre cocher londonien, suscitèrent un intérêt et une admiration à peine inférieurs à ceux d' une visite royale." Le Sheffield Daily Telegraph (1er juillet 1903) poursuit en décrivant ses compétences : "L'allée de gravier devant la maison était à peine assez large pour permettre à la voiture et les quatre chevaux de tourner, mais il n'est pas seulement imposant en apparence. Il est plein de ressources et a résolu le problème qui s'était rapidement posé en emmenant les quatre magnifiques bais à travers la pelouse et en les ramenant dans l'allée, le nez pointé vers la route".
A state visit to Bournemouth proves that Master Wright is not only in for a ‘funeral pace’ (1910).
Une visite d'État à Bournemouth prouve que Maître Wright n'est pas seulement adepte d'un rythme funéraire (1910).
At the time Master Wright's weight was eighteen stone (252 pound) and he was a teetotaller. One of the highlights of his career was the official visit of the Lord Mayor to Paris in 1906. “The French papers are rich in complements for the Lord Mayor of London and his coachman seems hardly less popular. Wright’s expressionless countenance has amazed the Parisians by its imperturbability, and only once, so far as one can gather, did this dignified coacher allow his features to relax. That was when an Englishman in one of the crowds shouted “he is all (W)right.” (Leicester Daily Post - Wednesday 17 October 1906).
The Paris correspondent of the Pall Mall Gazette even wrote: “The coachman Wright is already famous. His success is certain. He will take feminine hearts by storm. ‘Quel beau gars!’, they will say when they catch sight of his rubicund face…”
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À l'époque, Master Wright pesait 114 kilos et était abstinent. L'un des temps forts de sa carrière est la visite officielle du Lord Mayor à Paris en 1906. "Les journaux français sont riches en compliments pour le Lord Maire de Londres et son cocher semble à peine moins populaire. L'expression impassible de Wright a étonné les Parisiens par son imperturbabilité, et une seule fois, pour autant que l'on puisse en juger, ce digne cocher a laissé ses traits se détendre. C'est lorsqu'un Anglais dans la foule s'est écrié "il est tout à fait (W)right". (Leicester Daily Post - mercredi 17 octobre 1906).
Le correspondant parisien de la Pall Mall Gazette écrit même : "Le cocher Wright est déjà célèbre. Son succès est certain. Il va prendre d'assaut les cœurs féminins. Quel beau gars ! dira-t-on quand on apercevra son visage rubicond..."
The new dress coach made by Peters & Sons, London, for the state visit to Paris, 1906.
La nouvelle berline de gala fabriquée par Peters & Sons, Londres, pour la visite d'État à Paris, 1906
During the state visit to Paris, 1906.
Lors de la visite d'État à Paris, 1906.
Coachman Wright made an impression from all perspectives.
Le cocher Wright a fait forte impression à tous points de vue.
Master Wright handles the whip with ease (real-photo-postcard by les frères Neurdein Paris).
Maître Wright manie le fouet avec aisance (carte postale photo par les frères Neurdein Paris).
But the hard work of the expedition to Paris had left its mark on the constitution of Alfred Wright: “Everybody will be glad to know that Lord Mayor Treloar’s year of office has agreed him, and that he has actually gained many pounds in weight, in spite of the hard work which has been done during the year. There is, however, another side to the picture. The famous coachman has decreased in weight by just so much as the Lord Mayor has gained. It is true that, as Sir William was careful to point out, the Corporation stands just where it was before; but, if future Lord Mayors work the coachman as hard as he has been worked during the past year, and his portly form continues to “grow small by degrees and beautifully less,” he will soon be but a shadow on the box, and it would never do for the State coachman of the chief magistrate of the first City in the Empire to become lean, lank, and lantern-jawed. The coachman is an institution; he does not occupy his exalted position for one year only, and then retire into private life. Lord Mayors come, and Lord Mayors go, but the coachman still sits on the box; and a thin coachman would be an outrage.” (Beverley and East Riding Recorder 19 October 1907)
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Mais le dur travail de l'expédition à Paris a laissé des traces sur la constitution d'Alfred Wright : "Tout le monde sera heureux d'apprendre que l'année de mandat de Lord Maire Treloar lui a réussi et qu'il a en fait pris plusieurs kilos, malgré le dur labeur accompli au cours de l'année. Il y a cependant un autre côté de la médaille. Le célèbre cocher a perdu autant de poids que le Lord Maire en a gagné. Il est vrai que, comme Sir William a pris soin de le souligner, la société n'a pas changé; mais, si les futurs lord-maires font travailler le cocher aussi durement qu'on l'a fait travailler au cours de l'année écoulée, et si son embonpoint continue à "diminuer peu à peu le rendant moins magnifique", il ne sera bientôt plus qu'une ombre sur son siège, et il ne faudrait pas que le cocher d'apparat du premier magistrat de la première ville de l'Empire devienne maigre, efflanqué et émacié. Le cocher est une institution ; il n'occupe pas sa position élevée pendant un an seulement, puis se retire dans la vie privée. Les lords maires vont et viennent, mais le cocher reste assis sur le siège; et un cocher maigre serait un scandale". (Beverley and East Riding Recorder 19 octobre 1907)
Kidney problems
Master Wright was not too modest to peddle and commercialize his fame. He acted in advertisements of the ‘Globe’ polish for silver and brass. And he presides at the annual supper and concert of the Lodge of Oddfellows, in the North London District, as being a person of interest. He was known as a tactful humourist, for example telling every new Lord Mayor that he was ‘the best’ he had ever driven.
In 1914 a visit to Belgium stood on the program: “Mr. Alfred Wright, who is no stranger to Brussels, where he accompanied the two previous deputations in 1903 and 1910, will be present. His jovial face and ample proportions made a great impression upon the citizens, while his skilful driving evoked general admiration.” (Shoreditch Observer 18 July 1914)
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Problèmes rénaux
Maître Wright n'était pas trop modeste pour promouvoir et commercialiser sa renommée. Il a joué dans des publicités pour le "Globe", produit de polissage pour l'argent et le laiton. Il préside le dîner et le concert annuel de la Lodge of Oddfellows, dans le district du nord de Londres, en tant que personnalité importante. Il était connu pour son humour plein de tact, disant par exemple à chaque nouveau Lord Maire qu'il était "le meilleur" qu'il ait jamais conduit.
En 1914, une visite en Belgique figure au programme : "M. Alfred Wright, qui n'est pas un étranger à Bruxelles, où il a accompagné les deux précédentes délégations en 1903 et 1910, sera présent. Son visage jovial et ses proportions généreuses ont fait forte impression sur les citoyens, tandis que sa conduite habile a suscité l'admiration générale". (Shoreditch Observer 18 juillet 1914)
Visiting Antwerp, Belgium, in 1910 (printed postcards).
Visite à Anvers, Belgique, en 1910 (cartes postales imprimées).
In Brussels, Belgium, unknown year.
À Bruxelles, Belgique, année inconnue.
In November 1916 Alfred Wright, after serving 27 years, being half his life, as coachman for the Lord Maire, was taken ill to St. Bartholomew’s Hospital for having ‘Bright's disease’ (nephritis), an inflammation of the kidneys. The following year, he shook the hands of his successor, George Frederick Granger, who also earned his spurs by being a coachman for 25 Lord Mayors in other cities and ten Sheriff’s previously, a man good enough to step into Wrights shoes. The Master himself died after three years of suffering pain in his kidneys, in Holloway in September 1919.
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En novembre 1916, Alfred Wright, après avoir servi pendant 27 ans, soit la moitié de sa vie, en tant que cocher du Lord Mayor, est hospitalisé à l'hôpital St. Bartholomew pour la "maladie de Bright" (néphrite), une inflammation des reins. L'année suivante, il serra la main de son successeur, George Frederick Granger, qui avait également gagné ses galons en étant le cocher de 25 lord-maires dans d'autres villes et de dix shérifs auparavant, un homme assez bon pour prendre la place de Wrights. Le Maître, quant à lui, mourut après trois ans de souffrances dues à ses douleurs rénales, à Holloway, en septembre 1919.
Nice song, related: The Lord Mayor's Coachman